Stylos JD - faits main pour le plaisir d'écrire à la main

Jean-Jacques Daeffler conçoit et réalise des stylos depuis bientôt 10 ans. A une époque où les claviers d'ordinateurs envahissent les bureaux et les foyers, on pourrait croire que les stylos à encre sont relégués aux oubliettes. Pourtant, les « beaux » stylos bénéficient d'un regain d'intérêt, des marques anciennes renaissent de leurs cendres, et de petits ateliers proposent des pièces d'exception… souvent inabordables.

Alliant des matériaux aux couleurs chatoyantes à des pièces métalliques massives en titane ou aluminium poli, ou plaquées platine ou or, les Stylos JD à plume, à pointe roller ou à bille, sont des créations originales, fabriquées artisanalement et souvent des pièces uniques.

Le corps de ces stylos est usiné dans des matériaux plus séduisants les uns que les autres… une fois polis ! Les jeux de lumière dans les résines polies sont de toute beauté, d'autres matériaux tels que la pierre reconstituée, les métaux polis,... confèrent à ces stylos une esthétique et un toucher incommensurables.

Ses créations préférées sont bien sûr celles conçues et réalisées intégralement dans son atelier. Sa collection compte une centaine de pièces mais il y a mille façons de personnaliser un stylo, c'est ce qui rend cette activité si addictive. 

Travailler la terre, la sculpter, lui donner vie. Une silhouette, une attitude voilà ce que je recherche au travers de mes sculptures. Il n’y a pas deux statues identiques, elles sont comme les femmes qui se promènent dans la rue : chacune sa personnalité, chacune sa féminité.

Mes femmes naissent toute d’un bloc de terre que je sculpte puis passe au Raku.

Depuis une année maintenant des tableaux à l’acrylique accompagnent mes sculptures. Sur ces toiles, on découvre soit mes femmes sculptées, soit des scènes de tango.

Né à Rothau en 1948, j’entre aux Arts Décoratifs de Strasbourg en 1966. Au bout de 4 années, formé par Camille Clauss et Camille Hirtz, j’obtiens mon diplôme avec le prix de la ville de Strasbourg. Jusqu’en 2011, je partage mon temps entre l’enseignement du dessin en Lycée et la peinture. Président de l’AIDA de 2008 à 2011.

La tempera, peinture à l’œuf,  constitue avec l’aquarelle mes deux techniques de prédilection. Mon travail qui allie la minutie de l’enluminure et la profondeur des couleurs du vitrail fait découvrir un univers entre ésotérisme et symbolisme où le nombre est omniprésent. C’est une réflexion sur la trajectoire de l’homme entre méditation et action, entre rencontre et séparation. Tout au long de sa vie l’homme fait trois voyages : de la naissance à la mort, vers l’autre et vers l’ailleurs et pour finir vers lui-même pour se découvrir et enfin, peut-être, s’accepter.

Depuis 2010, une moitié de mon temps est occupé par l’art sacré et le montage d’expositions à thème dans ce domaine telles que « Bible et musique » ou « la rencontre de l’homme et de l’ange »

Essai de définition : je suis un peintre pythagoricien à tendance symboliste à la croisée de l’histoire, de l’ésotérisme, de la littérature et de la bande dessinée voire du manga, passionné par l’histoire des techniques picturales et un peu alchimiste.

De part son métier d’ingénieur informatique, Marie-Odile ENSMINGER s’est intéressée aux nouvelles techniques d’infographie appliquées à la broderie.

Pour obtenir l’effet de relief que permet la broderie, il y a un travail très technique de définition des points et de leurs orientations en fonction du dessin.

Elle aime travailler par thèmes ; les chats, qui la passionnent depuis toujours, les paons dont les plumes peuvent habiller tout un vêtement, l’Egypte antique pour laquelle elle a commencé une recherche.

Son sujet de prédilection reste l’époque médiévale. Un stage d’enluminure lui a permis d’apprendre les techniques de dessin et de mieux comprendre la « grammaire » de cet art.

Ainsi, à partir de quelques lettres, elle a composé tout un alphabet roman en associant des éléments de bestiaire et des décors végétaux.

Son prochain projet  est de travailler d’après  des manuscrits médiévaux alsaciens ; le Guta Sintram et l’Hortus Déliciarum pour en adapter quelques motifs.

Par ailleurs, depuis un an, elle s'intéresse au feutrage. Son but est d'exercer sa créativité pour la réalisation de nouveaux supports textiles lesquels pourront s'accompagner de broderie ou d'autres formes d'embellissement.

Dans sa peinture, la ligne entre figuration et abstraction est ténue. La couleur prime sur la forme ou peut-être l'inverse.

Il invite le public à une lecture en plongée dans le dédale des plans, arrières plans, glacis et autres aplats et à retrouver dans cette explosion originelle la source de nos émotions humaines originelles.

Né en 1951 à Freudenstadt (RFA), a vécu en Syrie, Liban, Irak, Allemagne et sud de la France

Repères : Travaille depuis 1970 - huile sur toile au couteau - huile sur plexiglas - pastels - lithographie - eau forte - illustration - affiche - dessin d'humour - volumes en aluminium et plexiglas

Ancien élève des Arts Appliqués de Metz ( C.A.F.A.S.)

Ensuite :
GRAPHISTE
DESSINATEUR PUBLICITAIRE
PEINTRE EN LETTRES à Strasbourg

Dans ce parcours, une variété de techniques différentes ont été pratiquées, ce qui m'a permis, à ma retraite, d'animer des cours de dessin et de peinture à Egersheim, Neudorf, et enfin Niederhausbergen.

Tenter sans prétention, d'exercer l'œil à voir, transcrire et interpréter ce qui semble intéressant à dessiner, enseigne autant l'enseignant que l'enseigné.

Les carnets de croquis sont pour moi un support très intéressant au quotidien, le travail du pastel et du fusain, l'acrylique et l'encre sont autant de recherches passionnantes.